Parce que l'été, c'est aussi de l'hyperstimulation.

Trop de luminosité, trop de bruit, trop de chaleur, trop de mouvement... nos nerfs sont surchargés et le mental aussi. 

Nous avons besoin de nourrir le calme pour équilibrer notre système nerveux en été. 

Ce qui nous permet de mieux dormir et avoir plus d'énergie pour mieux profiter de la belle saison!

Même si c'est tentant de le faire, je ne vous recommande pas d'utiliser des écouteurs avec suppression active du bruit (c'est à dire que l'écouteur émet un bruit opposé à celui qui est présent à l'extérieur afin de l'"annuler", ce qui nous permet de moins entendre le bruit ambiant et aussi mieux notre musique. 

Je ne vous le recommande pas, car pour les avoir testés, ils produisent vraiment une charge supplémentaire pour les oreilles. À long terme, il me semble...

Comment transmuter son hypersensibilité

Quand on ressent trop fort, le monde nous semble trop dur, trop bruyant, trop lourd à porter.

On s’accroche à nos rêves, car ils nous donnent la force de continuer malgré la douleur… Mais ils ne prennent jamais entièrement forme dans la matière, et s’ils le font, ce n’est qu’éphémère. Nos rêves ne vivent vraiment pleinement qu’en soi. Comme hypersensible, nous avons tendance à nous replier sur notre monde intérieur, ou sinon sur tout ce qui nous procure du plaisir dans le monde extérieur, afin de nous distraire de la douleur.

De toute façon, pourrait-il en être autrement? Quand ça fait juste trop mal, on entre dans l’automatisme du mode survie. C’est plus fort que soi.

Vieillir pour ressentir

Pleurer, c’est aussi drainant pour le corps que saigner. On a seulement une...

Nous sentons tous, instinctivement, les bienfaits de la lumière du feu, de la lune ou des étoiles. Un bonne lumière qui nourrit et qui détend. Mais il y a tant à "faire", et à la lueur des chandelles, on est forcés de moins faire. De faire plus lentement. Donc ça nous dérnage. Et puis, à la lueur des chandelles, on s'ennuie un peu. Moins de stimulis, et pas de stimulis rapides comme à la télé. On est plus face à soi-même, car les stimulis sont plus lents (on a tendance à faire dese choses plus tranquilles entre autres). Tout un défi pour la majorité d'entre nous qui avons appris et connu le monde à la lumière des néons, dans les villes aux rues éclairées et à l'omniprésence des écrans lumineux. À une vie où la lumière est souvent là 24h/24, vécue souvent à 100...